La mise en relation des objets se fait maintenant en silos : rien à voir avec une interconnexion générale. Par internet des objets, on entend généralement le RFID, et le « sans contact », les capteurs, les objets producteurs de données. Mais il y a aussi les actionneurs et les interfaces pour rendre ces objets intelligents. Le M2M (machine to machine) décrit le monde à partir des organisations sous forme de processus. L’intelligence ambiante se centre sur l’espace, le service et la conduite de l’utilisateur. Certains voient dans l’internet des objets, un moyen d’améliorer la qualité de vie … une forme de pensée magique. Mais, il existe aussi un risque de surveillance des individus. L’humain est au cœur des scénarios de société ubiquitaire.