La Semaine de la presse 2013 sur Cactus acide

L’une des particularités de la Semaine de la presse et des médias française étant de conserver deux ans le même thème je reprends dans cet article, en le mettant à jour, celui que j’avais écrit pour la même occasion l’année dernière. Pour avoir vérifié, l’essentiel des liens sont toujours actifs et ont été mis à jour. C’est vrai en tout cas pour les séances pédagogiques que je vous avais proposé, qu’elles portent sur la photographie de presse, les caricatures, les Unes, le journal télévisé ou les reportages. J’avais envisagé de préparer une séance au sujet de l’infographie, sur le modèle de la photographie de presse, mais il me semble que c’est un genre qui suppose des savoirs spécifiques qu’il me faudra prendre le temps de réellement acquérir avant de prétendre opérer une transposition satisfaisante. Je me permets néanmoins de vous soumettre ce billet de Marc Mentre, « Le journalisme visuel, une tendance forte dans les médias« , qui date de 2008. C’est dire si le sujet est moins nouveau qu’il n’y paraît, avec toute les évolutions actuelles possibles vers le « journalisme de données« .

J’ai tout de même quelques sites ressources à vous proposer en nouveauté… Bon, en fait, une fois consulté le Scoop.it de Jacqueline Valladon et la brève de Doc pour Docs, si je veux éviter d’être redondant, il ne me reste guère plus que Surlimage, site très complet, notamment sa rubrique « Sites ressources ». Je souhaite par ailleurs pointer cette séquence « Raconter une photo de presse » qui présente l’originalité d’aborder la thématique « Des images pour informer » par des podcasts.

Pour terminer, anticipons un peu, je me propose de reprendre les deux derniers thèmes de la Semaine de la presse et des médias, « Qui fait l’info ? » et « Des images pour informer« , au regard des avancées de la recherche de l’Université de Tokyo en matière de journalisme automatisé. La création de ce robot-journaliste, qui augure de nouvelles prouesses technologiques, me semble tout autant fascinante qu’elle me laisse perplexe, que l’on se réfère au Sonny d’I-Robot ou au Frankenstein de Mary Shelley. L’acquisition de la faculté de discernement, que l’on se situe du côté de la vérification des sources ou de la photographie, est aujourd’hui un obstacle que je ne suppose pas les chercheurs nippons capables de surmonter. La dimension sensible reste par ailleurs à prendre en compte dans une approche esthétique selon la philosophie de la connaissance. Au-delà d’un journalisme factuel, les reporters, tant pour l’écriture que la photographie, ont sans doute beaucoup à objecter aux compétences actuelles de ce robot-journaliste. Il n’en reste pas moins que ce projet doit pouvoir trouver des applications intéressantes, pour les zones de guerre notamment, en attendant le jour où nous devrons apprendre à évaluer une source à de jeunes… androïdes. Mais il se peut là que je m’égare un peu.

Prendre le temps de la culture de l’information

Lectures froides…

Je me propose de prolonger ici la réflexion entamée dans ma précédente publication « les RSN, nouvel âge de la polis« . Et plus précisément de revenir sur le travail de Yves Lavoinne « Publicité des débats et espace public« . J’ai été frappé par ce que sous-tendent les deux modèles de publicité dites « matérielle » ou « imprimée, au cœur d’une controverse qui tient d’un projet politique au sujet du « rendu public » des débats des assemblées et tribunaux.

Par publicité matérielle il était entendu la possibilité donnée aux citoyens d’assister physiquement aux débats, dans le respect d’une « norme de passivité », sans que cette publicité fasse l’objet d’une publication imprimée. Seconde approche qui, au contraire, concède le temps de la réflexion outre le fait qu’elle donne au plus grand nombre la possibilité de prendre connaissance des délibérations. Il s’agit là, dans l’esprit des Lumières, des bienfaits de la lecture froide défendue par de Jaucourt dans l’article qu’il rédigea sur la « presse » pour l’Encyclopédie :

« Un homme dans son cabinet lit un livre ou une satire tout seul et très froidement. Il n’est pas à craindre qu’il contracte les passions et l’enthousiasme d’autrui, ni qu’il soit entraîné hors de lui par la véhémence d’une déclaration. Quand même il y prendrait une disposition à la révolte, il n’a jamais sous la main l’occasion de faire éclater ses sentiments »

…pour prises à chaud.

Que l’on compare désormais ce modèle aux « transferts de pouvoirs » opérés par Internet, « technologie subversive »… ou émancipatrice. Le réseau a suscité la création de nouveau mode d’organisation dont les membres « se gouvernent, se réunissent, apprennent, contribuent, créent, échangent, s’entraident sans l’aide des anciens médiateurs ». Et c’est là un progrès indéniable ne serait-ce que par le potentiel créatif dont il est porteur, ainsi que pour les sociabilités nouvelles qu’il véhicule.

Je ne sais, en revanche, si l’on peut d’emblée se féliciter de l’obsolescence des médias traditionnels, dépassés par le « chacun d’entre nous est devenu un média ». Si les réseaux sociaux numériques et les technologies qui les caractérisent nous ont munis des outils par lesquels témoigner à chaud d’un événement devient possible, il nous manque le temps de la « lecture froide » pour informer. Que l’on ait, par exemple, à l’esprit le Printemps arabe pour concevoir cette bivalence. Une photo ou une vidéo sont porteuses d’un message qui pour faire sens suppose une mise en contexte qui passe par une triple lecture dénotative, constatative et interprétative rendue possible par des connaissances sur les événements et sur le document lui-même. Or ce n’est pas là une démarche innée.

Le temps de l’école

Il me semble à cet égard important de rappeler le rôle que pourrait jouer l’école dont la formidable opportunité est de donner aux élèves le temps d’apprendre et, pour ce faire, le temps de l’erreur. Plutôt que d’invoquer systématiquement le hiatus entre un rythme rapide pour l’évolution des TIC et un rythme lent pour l’acquisition des apprentissages, il pourrait sans doute être pertinent de considérer le numérique en tant qu’un système fondé sur des paradigmes et des notions pérennes.

Or, la culture informationnelle englobe dans ses postulats les enjeux posés par la littératie numérique. L’approche conjuguée des éducations à l’information, aux médias et à l’informatique est une réponse à la constitution d’un « citoyen média » lettré, en mesure de réaliser, de réfléchir et de résister. A cette fin, dans le système éducatif français, les professeurs documentalistes, qui sont au cœur de cette translittératie, devraient en assumer l’enseignement.

La Semaine de la presse sur Cactus acide

Or donc ça y est, la Semaine de la presse débute !

Afin d’être tout à fait paré, Cactus acide se propose de récapituler les dernières publications consacrées à cet événement. Avec pour commencer l’édito d’Olivier Le Deuff qui questionne l’actualité au regard de la liberté de la presse et replace celle-ci dans le contexte de la formation à l’information et aux médias. Pour introduire le débat sur ces questions, Cactus acide a relevé des ressources pour préparer la Semaine de la presse ainsi que, plus spécifiquement, sur les Unes et le dessin de presse.

Ressources auxquelles sont associées des séances qui peuvent être proposées en collège ou en lycée. Ainsi, selon les projets et objectifs visés, vous trouverez matière à faire travailler vos élèves sur la photographie de presse ou sur les caricatures, sur la Une, ou enfin sur le journal télévisé ou les reportages.

Une excellente Semaine de la presse à toutes et à tous !

MàJ 26.03.2013 : Semaine de la presse et des médias 2013

L’image animée, un média d’intentions et de projections

Afin de venir compléter les publications dédiées à la Semaine de la presse, Cactus acide vous propose cette séance d’une heure consacrée à la lecture de l’image dans un reportage audiovisuel. Il s’agit cette fois d’aborder l’image animée, dans un premier temps pour elle-même, avant de faire le lien avec les commentaires qui l’accompagnent.

En préalable à une présentation des objectifs et du déroulement, il nous faut aborder la question du droit pour être en règle avec la législation en vigueur. Les derniers accords sectoriels stipulent que pour les œuvres audiovisuelles «  »extraits » s’entend de parties d’œuvres dont la longueur est limitée à six minutes, et ne pouvant en tout état de cause excéder le dixième de la durée totale de l’œuvre intégrale. » L’exception pédagogique n’est donc que partielle, ce que nous ne pouvons que regretter.

Dans le respect des textes, vous trouverez donc ici et , à titre d’exemple, des reportages ou extraits de reportages qui sont des supports didactiques pertinents.

Cette séance peut être envisagée en partenariat avec un enseignant en arts plastiques (collège et LP) pour aborder les notions techniques du tournage  (cadrage, prise de vue, séquence,…) ou, éventuellement, par le professeur documentaliste même (LGT) lors d’une présentation spécifique.

Il doit être possible d’adapter les objectifs aux niveaux concernés, que l’on travaille sur la créativité des élèves avant d’introduire la notion de traitement de l’information (collège), ou que l’on s’appuie sur les indices contextuels du reportage pour insister sur l’acquisition d’une culture générale et d’une culture de l’information à des fins de reconnaissance implicite (inter-subjectivité du journaliste et de l’auditeur)  et explicite (ligne éditoriale) des signes qui constituent le(s) message(s) du reportage (lycée).

Afin de réaliser ces objectifs il sera proposer aux élèves une ou deux projections, sans le son, de l’extrait de reportage choisi. Charge ensuite à eux, en groupe de 3 ou 4 élèves, de donner du sens aux images qu’ils ont vues et de restituer une narration et une information cohérente. Les différentes versions sont ensuite présentées à l’oral au reste de la classe qui va pouvoir évaluer la cohérence de chaque interprétation selon les indices que chaque groupe aura repérés. Cette première phase a pour but de démontrer aux élèves leur part de subjectivité (lycée).

L’extrait du reportage est alors diffusé avec le son et il est alors demandé aux élèves de s’exprimer sur le sens du reportage selon les informations objectives qu’ils auront notées sur une grille (collège). Cette prise de note sera ensuite élargie, avec rediffusion du reportage, aux informations subjectives (lycée). Le professeur documentaliste effectue alors une remédiation en insistant sur la complémentarité image-son et sur la notion de traitement de l’information (collège); sur l’importance des éléments de contexte et de l’interprétation dans la lecture que l’on a d’une médiation informative.

Il est pertinent de récupérer les grilles de lecture des élèves pour évaluer  les indices qu’ils ont relevés lors de la diffusion du reportage. Par ailleurs, selon le temps disponible, à des fins d’évaluation formative, il doit pouvoir être envisagé un même travail sur grille de lecture à partir d’un autre extrait de reportage. Sinon,  un exercice similaire peut être donné à faire à la maison.

En conclusion, il s’agit, lors de cette séance, d’introduire les élèves à la complexité de la lecture de l’information entre approche médiologique et co-relations objectives et subjectives.

Analyse du journal télévisé

http://www.fotosearch.fr/CSP389/k3896636/

Dans le cadre de la semaine de la presse et du programme d’éducation civique en 3ème, voici une séance de réflexion sur le rôle des médias dans la société au travers de l’analyse de deux journaux télévisés. En effet, informer, c’est choisir : choisir les informations à traiter, la façon de les organiser, de les hiérarchiser en fonction du rendu souhaité et du public visé. L’analyse de ces choix est importante pour comprendre le rôle des médias et l’éthique de l’information dans notre société.

Cette séance s’accompagne d’une grille d’analyse donnée aux élèves pour les guider dans leur analyse du journal télévisé.

La caricature, un média impertinent ..?

Dans le cadre de la 23ème Semaine de la presse dont la thématique est « Des images pour informer », Cactus acide vous propose ci-dessous cette séance d’une heure sur la caricature, qui vient compléter celle sur la photographie de presse.

Inspirée d’une situation-problème elle peut faire l’objet d’un travail en interdisciplinarité avec des professeurs d’histoire-géographie dans le cadre de l’éducation civique (4ème-3ème) ou de l’ECJS (2nd), selon des modalités et des objectifs adaptés.

Ce média spécifique questionne la liberté d’expression et plus précisément celle de la liberté de la presse dont les limites objectives ne sont pas d’emblée évidentes. Pourtant ce type d’information, dont le mode de traitement même fait sens, s’inscrit dans un cadre réglementaire qui s’efforce de réduire la part d’interprétation. Ce qui constitue sans doute un paradoxe au regard du fonctionnement du droit français.

Derrière une question simple : Peut-on tout représenter ?, la caricature introduit un débat dont les notions « affiliées » (liberté d’expression, droits fondamentaux, diffamation, droit à l’image) sont porteuses de toutes les nuances. Nuances qui devront être plus ou moins approfondies, les objectifs notionnels étant ici à évaluer selon le niveau des élèves. Les objectifs d’apprentissage concernent, quant à eux, plus précisément la lecture (d’extraits) de textes juridiques (loi de 1881 sur la liberté de la presse, Déclaration universelle des droits de l’homme, Code de la propriété intellectuelle – exception de caricature-).

Conçue selon les principes d’une situation problème il peut être demandé aux élèves, pour commencer, si une caricature peut tout représenter. S’ils ne devaient pas être très inspirés, ces quelques exemples peuvent les aider à entamer le débat (A noter que cette expérience d’échange entre Dilem et Plantu peut faire l’objet d’autres débats avec les élèves : sur une comparaison de la liberté de la presse entre pays ou sur le « Printemps arabe » par exemple).

La phase de recherche peut être libre (lycée) ou guidée (collège). Dans ce second cas, cette ressource, plutôt accessible, présente, en outre, un autre exemple que « Wikipédia » pour travailler, dans un autre contexte, sur les wikis. Une grille de questions peut être élaborée, notamment en collège, pour guider les élèves dans leur lecture. Questions qui peuvent renvoyer aux textes et aux articles de référence, à ce qui caractérise sur le fond et la forme les caricatures, ou aux limites posées par le droit.

Cette grille peut en suite faire l’objet d’une évaluation (notée ou non) en complément de l’échange entre les élèves qui fait suite aux recherches. Pour la remédiation, il est sans doute préférable d’envisager un document photocopié au cas où, en fin d’heure, il faille ajuster la séance.

En conclusion, au delà des textes réglementaires associés à l’exception de caricature,  une introduction à la notion de « politique éditoriale » constitue sans doute un prolongement judicieux pour mettre en dialogue la pertinence de l’information et l’impertinence du média.

Ressources sur le dessin de presse

Afin de continuer à préparer la Semaine de la presse, Cactus acide s’est mis en quête de ressources sur le dessin de presse pour qui souhaite aborder cette thématique.

Le Clemi propose un dossier pédagogique sur l’analyse du dessin de presse dans lequel sont dégagés des objectifs qui peuvent faire l’objet d’une séance. Vous y trouverez en particulier des grilles d’analyse qui distinguent, notamment, les différents procédés (caricatures, ironie, allusion…) et figures de styles (allégorie, comparaison, métaphore) du dessin de presse. Par ailleurs, le Clemi a mis en ligne la vidéo d’un forum-débat où  des élèves ont pu échanger avec des dessinateurs de presse jeunes et professionnels.

En complément « Association Médias » présente un dossier complet « Pour travailler sur le dessin de presse » qui nous permet, entre autre, d’évoquer « Les rencontres internationales du dessin de presse » (RIDEP) dont le thème est « Internet et libertés ». Initiative à laquelle nous pouvons associer le site « Cartooning for peace » imaginé par Plantu et dont l’objectif est d’œuvrer à « une meilleur compréhension et un respect mutuel entre des populations de différentes croyances ou cultures ». Vous y trouverez des rubriques complètes présentant des dessins ou des portraits de dessinateurs, ainsi que des supports pédagogiques à exploiter.

Dans le même esprit et afin de compléter les ressources possibles sur le dessin de presse, ce site spécialisé prend pour objet les caricatures avec, en particulier, une banque d’images libres de droit. Enfin, déjà cité dans l’article « Pour préparer la Semaine de la presse« , le CDDP du Val d’Oise propose un cédérom, consultable en ligne, sur les images de presse.

A la découverte de la « Une »

http://fr.fotolia.com/id/19642047

Dans le cadre de la semaine de la presse, voici une séquence d’éducation aux médias menée avec des élèves de 5ème sur la découverte de la « Une ».

Cette séquence s’inscrit dans un projet pédagogique particulier car il s’agissait pour ces élèves de construire une « UNE » relatant leur séjour en vallée de la Loire, voyage effectué quelques semaines plus tôt avec leurs professeurs d’histoire-géographie et de français. De même, les titres de journaux utilisés ici sont spécifiques à l’environnement local du collège (Ouest-France et Maine Libre sont les deux quotidiens principaux en Pays de la Loire). De ce fait, le contexte ainsi que les matériaux utilisés peuvent varier en fonction des objectifs visés et de l’environnement local de l’établissement.

Voici la fiche outil à remplir par les élèves : « une » vierge
Un exemple de composition de UNE sur le site du CRDP de Nice.

Panorama des Unes de presse

Afin de continuer à préparer la Semaine de la presse, Cactus acide a relevé des ressources en ligne qui renvoient vers des unes de presse, ce qui peut constituer une approche pour aborder la question de l’image de presse.

Mentionné dans une brève, « Déjà vu » propose quelques références en la matière sur lesquelles nous nous proposons d’insister ou d’apporter des compléments. Si vous souhaitez travailler à partir de unes étrangères, le site newseum apporte un panorama complet sur lequel vous appuyer. Pour la presse française, vous trouverez ici et   deux propositions afin d’aborder la presse nationale pour la première et la presse quotidienne régionale (PQR) pour la seconde. Enfin, si vous cherchez plutôt des unes qui renvoient à des événements marquants de 2011 vous en trouverez ici un florilège non représentatif.

Par ailleurs, afin de vous apporter quelques idées sur cette thématique, le clemi a élaboré une fiche séquence que vous pourrez compléter avec ces quelques pistes canadiennes. Cactus acide ne restera bien sûr pas en reste, mais il va vous falloir patienter pour prendre connaissance d’une séance qui sera publiée sous peu… Voilà c’est fait.

Pour préparer la Semaine de la presse

Bien qu’encore éloignée la Semaine de la presse 2012 se précise,… d’autant plus qu’une période de vacances arrive qui devrait donner à chacun(e) le loisir 🙂 de la préparer. Aussi Cactus acide s’est livré à un petit tour du Web afin de commencer à recenser les ressources déjà en ligne.

Et pour commencer rendons à César ce qui appartient… au  Clemi qui comme chaque année ouvre une rubrique dédiée à la Semaine de la presse. Rubrique à laquelle il faut ajouter, curation quand tu nous tiens, un Scoop.it sur l’actualité des médias. En complément vous trouverez chez nos cousins outre-atlantiques du CREM une présentation des différentes fonctions de l’image dans la presse écrite. Pour être à peu près complet et se mettre à jour Jacqueline Valladon et Clothilde Chauvin ont chacune ouvert ici et ici un Scoop.it. Inutile de préciser que c’est ce qui se fait de mieux.

Par ailleurs, afin d’aborder l’aspect didactique j’ai répertorié cette carte heuristique pour faire le tour des notions propres à l’Éducation aux médias (EAM) ainsi que ce corpus de photographies de presse qui présente autant de supports pour préparer un cours.  Dans ce domaine, je vous renvoie, sur Cactus acide, à cette séance sur la photographie de presse… en attendant de nouvelles propositions.

Il se peut que ce premier tour des ressources disponibles pour préparer la Semaine de la presse 2012 soit incomplet. Aussi je vous invite à laisser dans les commentaires les références qui m’auraient échappées.