Je me livre ici, en cette amorce de fin d’année scolaire, à une petite fantaisie sur ce qu’est, pour moi, enseigner. J’avoue, par ailleurs, chercher à démontrer que les concepts les plus abstraits peuvent donner matière à s’en émouvoir dès lors que l’on s’emploie à les détourner agréablement. Aussi j’espère que Jean Houssaye et Philippe Meirieu ne m’en voudront pas pour cette inspiration iconoclaste. Mais le sujet est des plus sérieux et j’espère répondre à cette exigence de vérité, chère à Philippe Meirieu et en laquelle je crois. On se gardera ainsi, pour la prochaine fois, de me demander de dessiner un mouton.
Une pensée sur “Enseigner, ou l’art d’aimer. Fantaisie didactique.”